Publié dans Images et sons
par Fabien Deshayes et Jean-François Laé
17 janvier 2021
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Offrir des fleurs
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Quelle série composent-ils donc, ces durs au mal ? Et pourquoi donc ont-il accepté de poser devant l’objectif, bouquet à la main ? Les petites fleurettes semblent si fragiles ! Vont-ils vraiment voir leur amour ? Qui sont-ils d’ailleurs ? Tentons quelques descriptions, on y verra peut-être plus clair...
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Publié dans Images et sons
par Philippe Artières, Fabien Deshayes, Annick Madec, Numa Murard, Laetitia Overney, Axel Pohn-Weidinger
7 décembre 2020
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Courage, fuyons !
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Sur une idée de Philippe Artières, un patchwork de textes ou "Mélanges" qui rendent hommage à ce que Jean-François Laé appelle la « narration sociologique », introduisant, par l’inversion du qualificatif et du substantif, une variante de la sociologie narrative dont l’interprétation est offerte à chacun, la narration prenant peut-être le pas sur la sociologie, ou encore, en d’autres termes, la transfiguration du social sur son attestation.
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Publié dans Images et sons
par Fabien Deshayes et Jean-François Laé
7 novembre 2020
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Une photo, un commentaire : cimetière sous Covid
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Des buttes de caillasse successives. Chaque petit tas est surmonté d’un bout de bois dressé à la va-vite. Le coup de pelle du fossoyeur vient à peine de s’achever. Allez hop ! Faut pas que ça traine, le virus pourrait surgir.
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Fendre le banal
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Une fois par semaine je vais au tribunal de Paris. Je prends des notes et je me dis que le banal est explosif si l’on y prête attention. Le banal, ce qui ne se voit pas dit l’ami Perec. L’insignifiant, si vous y prêtez du temps, se déchire lentement à la vue. L’insignifiant se tient là où il n’y a pas de discours, retiré sous l’herbe. Ce voyage s’arrête au 30 octobre pour la raison que vous savez.
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Toxicophobie mon amour
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J’ai écrit ce texte car il m’est apparu comme le seul espace dans lequel je pourrais m’exprimer librement, pour crever cet abcès que vous ignorez mais qui nous étouffe. Je parle de ce que je vis, de ce que je connais, je n’ai pas vocation à représenter un groupe homogène. Chaque personne, chaque produit, chaque parcours est unique. Mais la toxicophobie, elle, s’applique à nous tou-te-s, les toxicos. Et elle s’exprime à travers vous.
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Le printemps vacille
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Une libraire tranquille, salariée d’un "Culturel" situé en centre-ville, à quelques encablures de l’hypermarché dont il dépend, un virus qui fait trembler la planète, un rayon qui ne devient plus essentiel. Carnet de notes de mon transfert de l’espace culture à l’équipe du drive de l’hyper.
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Publié dans Images et sons
par Etudiant.e.s et enseignantes, sociologie et études théâtrales, Rennes 2.
21 juin 2020
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"Projet chômage". Quand sociologie et théâtre font bon ménage à l’université.
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« Projet chômage ». Derrière ce titre provocateur et ambigu se cache un projet pédagogique et artistique, sociologique et théâtral, conduit en 2018-2019 à l’Université Rennes 2 par les départements de sociologie et d’études théâtrales et dont nous vous livrons ici le texte original ainsi que la captation vidéo de la seconde représentation donnée le 17 octobre 2019, Salle Pina Bausch, à l’Université Rennes 2.
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Lettre à ma mère
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Ma sœur m’a dit qu’elle ne voulait pas devenir une femme énervée. Puis elle a rajouté que la colère était quand même sans doute légitime. Moi je suis cette personne énervée, et je ne vais pas me taire pour votre plaisir, je ne vais pas me taire parce que ma colère vous dérange.
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Ca commence aujourd’hui
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Un jour de mai 2019, peu de temps avant les élections européennes, je me suis assis à l’intérieur d’un bistrot situé quelque part en Berry pour y consommer un café. Durant une trentaine de minutes, j’ai transcrit minutieusement tout ce que je voyais et tout ce que j’entendais.
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Journal collectif 13. "Quotidien confiné"
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En prenant du recul en ce 21ème jour de confinement, je réalise qu’il n’est pas uniquement source de vide extrême sans activité. Je réalise que j’ai pu continuer à m’ouvrir aux choses. Il s’agit alors de s’organiser autrement, quand cela est possible. Je sais que ma situation n’est pas universelle, je me rends bien compte du privilège d’avoir le choix de rester chez soi.
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Bande de Mandaïs - Partie III
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Troisième et dernière partie de la bande dessinée Bande de Mandaïs avec la participation de chômeur-se-s belges qui racontent l’exclusion sociale.
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Journal collectif 12. Le risque de l’expérience
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J’ai compris progressivement que ma place et mon risque à moi étaient tous les deux dans le déplacement. Ce qui a été au départ de ma vie adulte, difficile : évoluer à l’Université et autour, dans un milieu qui n’était à la base pas le mien, fille d’une femme caissière et d’un homme vendeur automobile...
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Journal collectif 11. Compétition unique
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Je pratique le sauvetage sportif depuis maintenant 7 ans et 3 ans à haut niveau à Rennes, piscine de Bréquigny, natation en piscine et en mer (côtier). Ce sport est peu connu mais il se pratique à haut niveau lors de compétitions, régionales, nationales et internationales. Chaque année, il y a des objectifs différents, précis qui sont calculés et mis en place, jour après jour. Les échéances dans le sport sont ce qui permet de nous faire tenir à l’entraînement. 20h d’entraînement chaque semaine en parallèle des études, c’est un choix de vie, pleinement assumé.
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Journal collectif 10. Une si fragile hospitalité
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Chaque lundi, depuis plusieurs mois maintenant, un petit groupe de jeunes bénévoles se regroupent sur le parvis de la gare de Lyon afin d’offrir une hospitalité alimentaire de manière clandestine... Depuis quelques jours avant ce lundi soir, des messages de doute et d’inquiétude apparaissent dans la conversation du groupe de bénévoles... A mesure que les aiguilles tournent sur le cadran de la montre, les personnes se désistent de leur engagement...
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